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EXCLU VIDÉO – Christian Clavier : comment son oncle a lancé la carrière du Splendid

février 10, 2023 1 Commentaire 3 Min En Lecture 24 323 views

Un succès dû à un homme. Dans le numéro de ce vendredi 7 juillet, Un jour, un destin, diffusé sur France 3, retrace le parcours de la troupe de théâtre du Splendid, dont la notoriété se doit notamment à Yves Rousset-Rouard, l’oncle de Christian Clavier. Tout commence en 1977. Sur les conseils de sa sœur – la mère de l’acteur des Bronzés – le producteur se rend au 10, rue des Lombards, dans le 4e arrondissement de Paris ( deux avant que le café-théâtre ne déménage à son adresse actuelle du 48 rue du Faubourg Saint-Martin, dans le 4e arrondissement de Paris) pour assister à une représentation d’Amours coquillages et crustacés, dans laquelle apparaît son neveu.

Sur la scène, celui qui est à l’origine de l’adaptation du roman érotique d’Arsan nommé Emmanuelle, sortie en 1974, voit alors Marie-Anne Chazel, Michel Blanc, Gérard Jugnot, Thierry Lhermitte, Jacques Delaporte, Dominique Lavanant, Josiane Balasko, Bruno Moynot et Yvon Brexel, aux côtés de Christian Clavier. Immédiatement, l’homme d’affaires détecte un talent indéniable chez ces jeunes comédiens. Les journalistes de France 3 expliquent qu’à peine la représentation terminée, alors que la troupe se démaquille dans sa loge, le Marseillais la rejoint pour lui suggérer quelque chose. « Rendez-vous demain, on fait le film ! », lance-t-il alors aux comédiens. Face à cette demande inespérée, les dix amis n’hésitent pas une seule seconde. Interviewé par les équipes de l’émission, Gérard Jugnot s’est souvenu de cette proposition : « On voulait tous faire du cinéma. La génération de Jean Rochefort voulait faire du théâtre, c’était des acteurs de théâtre. Nous, on voulait faire du cinéma. »

La naissance des Bronzés

Rapidement, le projet se met en branle, mais un réalisateur doit encore être trouvé pour travailler avec cette équipe de cinéma novice. C’est Patrice Leconte, déjà connu pour avoir réalisé la comédie Les vécés étaient fermés de l’intérieur, avec Coluche et Jean Rochefort, sorti en 1975, qui prend les commandes de l’adaptation. L’année suivante, le film sort en salles et enregistre 2,2 millions d’entrées sous un nom désormais mythique : Les Bronzés.

Article écrit en collaboration avec 6Medias.

Crédits photos : Zuma Press / Bestimage

F
1 Commentaire
  1. Kali Moen dit :

    L’auteur devrait être commémoré pour une telle chose 🙂

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